J’ai offert des violettes au bouddha du salon Pour un dernier adieu au printemps somptueux Pianoté le piano, joué des airs joyeux Et lancé des soleils dans toute la maison J’ai relu mes poèmes à l’abri de la nuit J’ai roulé les étoffes sur mon corps attendri |
Béatrysse Dartstray |
Une réponse sur “MOURIR BIENTÔT”
Les commentaires sont fermés.
Impressionniste et musical, magnifique poème !